La Direction des services professionnels correctionnels (DSPC)

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Les DSPC sont responsables des activités concernant l'éclairage à la cour, l'évaluation des personnes contrevenantes, l'élaboration des plans d'intervention correctionnels ainsi que des activités d'encadrement et d'accompagnement des personnes contrevenantes dans la communauté.

DSPC

« Par l’engagement et le professionnalisme de leur personnel, les Services correctionnels et leurs partenaires font une différence dans le cheminement des personnes qui leur sont confiées par des interventions adaptées en tous lieux et en toutes circonstances »

Le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels vise à offrir des services adaptés et un accompagnement bienveillant aux personnes victimes, à leurs proches et aux témoins d’infractions criminelles selon leurs besoins.

Les DSPC sont responsables des activités concernant l’éclairage à la cour, l’évaluation des personnes contrevenantes, l’élaboration des plans d’intervention correctionnels ainsi que des activités d’encadrement et d’accompagnement des personnes contrevenantes dans la communauté. Ces activités visent notamment le respect des conditions imposées par les tribunaux, par la Commission québécoise des libérations conditionnelles (CQLC) ou par les directeurs d’ED .
Les DSPC partagent leurs responsabilités en matière de prestation des services correctionnels dans la communauté avec des organismes communautaires œuvrant en matière pénale. Ces derniers contribuent à la mission du SMSC en offrant des services d’hébergement, des interventions de suivi et des activités de réinsertion sociale.

Le CAVAC offre différents services gratuits et confidentiels aux personnes victimes, à leurs proches et aux témoins d’acte criminel.

Le suivi des personnes contrevenantes dans la communauté s’effectue par les agents de probation au sein des directions des services professionnels correctionnels (DSPC), communément appelées les bureaux de probation. Il s’exerce par des interventions de contrôle et des interventions visant la réinsertion sociale des personnes contrevenantes.

Le suivi dans la communauté s’applique lorsqu’une personne est soumise à une mesure sentencielle, c’est-à-dire :

  • une ordonnance de probation (peine à purger dans la communauté dans le respect de certaines conditions obligatoires);
  • une peine d’emprisonnement avec sursis (peine à purger dans la communauté,
  • généralement avec un couvre-feu ou une assignation à résidence);
  • des heures de service communautaire;

Il s’applique également aux personnes contrevenantes bénéficiant d’une mesure de libération graduelle, aussi appelée mesure correctionnelle, comme une permission de sortir ou la libération conditionnelle.

Concrètement, le suivi dans la communauté implique que les agents de probation :

évaluent la personne contrevenante et

  • élaborent pour elle un plan d’intervention;
  • effectuent des interventions d’aide et de contrôle auprès de la personne contrevenante;
  • s’assurent que la personne contrevenante respecte les conditions qui lui ont été imposées;
  • rédigent des rapports pour les tribunaux ou d’autres intervenants du système judiciaire;
    orientent la personne vers les ressources et les services appropriés;
  • favorisent sa réinsertion sociale.

De plus, des agents des services correctionnels ainsi que différents partenaires communautaires peuvent participer aux interventions de suivi dans la communauté.

En matière de violence conjugale, les intervenants correctionnels disposent de différents moyens pour contribuer à la sécurité des personnes victimes, évaluer et encadrer les personnes contrevenantes, comme:

  • Le service d’évaluation des personne accusées en matière de violence conjugale au stade de la mise en liberté provisoire;
  • Le Programme de surveillance accrue: Il s’agit d’un programme permettant de repérer des personnes contrevenantes qui pourraient constituer un risque à la sécurité de la population de par leur comportement ou leur appartenance à une organisation criminelle, et de les soumettre à une surveillance accrue;
  • Le bracelet anti-rapprochement.
Pour nous joindre

N’hésitez pas à contacter l’équipe de la Direction des Services Professionnels Correctionnels (DSPC) pour toute question.

Coordonnées

Numéro de téléphone : (418) 338-3200
Télécopieur: (418) 338-9196
Site Web; www.quebec.ca/gouvernement/ministere/securite-publique

Adresse

693, rue St-Alphonse Nord, local 1.27
Thetford Mines (Québec) G6G 3X3

Heures d’ouverture du Centre

Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12h00 et de 13h00 à 16 h 30

Foire aux questions

Dois-je avoir porté plainte pour avoir accès aux services ?

Non. Les services du CAVAC sont disponibles que l’auteur du crime soit ou non identifié, arrêté poursuivi ou reconnu coupable.

Qu’est-ce qu’un suivi psychosociojudiciaire ?

L’équipe du CAVAC est composé de divers professionnels (psychoéducateur, travailleur social, criminologue, sexologue, etc.). Le CAVAC offre un suivi court terme visant à réduire les conséquences de l’infraction criminelle et à favoriser votre rétablissement. Il vous accompagne également au sein de la procédure judiciaire.

À noter que les intervenants du CAVAC n’offrent aucun service de psychothérapie.

Est-ce qu’il y a un délai maximum entre l’acte criminel et ma demande d’aide?

Non.

Quel est la différence entre IVAC et CAVAC?

L’IVAC se trouve à être le fonds d’indemnisation aux victimes d’actes criminels. Leur mission est « d’accompagner les personnes victimes d’infractions criminelles pour qu’elles aient accès aux aides financières auxquelles elles ont droit afin de favoriser leur rétablissement et pour qu’elles reprennent le cours de leur vie.​[1]»

Le CAVAC se trouve à être le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels. Les services tels que mentionnés sont davantage psychosociojudiciaire. Un accompagnement pour compléter les documents IVAC est offert.

[1] https://www.ivac.qc.ca/a-propos/Pages/a-propos.aspx

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BG